Soirée bi

Catégories : REEL FESSESTIVITES
il y a 4 ans

Présentations

Je m’appelle Hupora .Grand, on me dit beau. Avec l’âge certains de mes fantasmes se sont orientés de façon inattendue vers la soumission, le candaulisme et les plaisirs entre hommes. Mes répulsions sexuelles de mâle, les interdits que l’on m’a inculqués, le rôle de dominant qui devait être le mien, tout cela a été lentement remis en question pour finalement céder à la tentation de pratiquer des jeux inavouables pour un homme hétérosexuel. Il ne s’agissait en rien d’un coming out, mais du déploiement de ma sexualité, de la naissance d’un autre moi lentement apprivoisé, féminin. Peut-être devrais-je écrire plutôt que ma perception du clivage homme-femme s’est estompée au profit du plaisir de la chair sans distinction des genres. J’avais conquis un nouveau territoire sans abandonner mon pays natal.

Tout cela peut paraître trivial mais comprenez qu’il m’a été difficile de faire céder ce barrage. J’ai vécu ce franchissement comme une victoire sans doute prétentieuse.

J’ai rencontré de nombreuses femmes. J’ai grandi en elles si j’ose dire. Et puis est arrivée Anapi la femme de ma vie. Intelligente et drôle, un sourire à faire tomber les barrières, Chantant faux des chansons d’amour. Je suis dès le premier jour tombé follement amoureux d’elle. Hanches larges mises en valeur par une taille étroite, seins lourds, magnifiquement proportionnée, elle sait habiller son corps de violoncelle bien que rechignant à provoquer. Sa peau mate est d’une douceur telle que glisser mes mains sur ses reins suffit à me donner envie de son corps.

Elle a découvert très tôt son autorité naturelle, son besoin de dominer, peut-être sans relation clairement établie dans un premier temps, avec sa sexualité. C’est lors d’une soirée BDSM dédiée à la domination, à laquelle elle a été conviée, subjuguée, étonnée elle-même d’avoir participé, que cette propension s’est révélée comme une évidence. Cette petite analyse de parcours est probablement inexacte ou pour le moins incomplète. Elle me corrigera. Je ne serais pas surpris qu’elle accepte un jour le rôle de soumise, adorant être attachée et imaginant probablement beaucoup de choses. Souvent, prise en levrette pendant que sa superbe croupe oscille, le visage enfoui dans un oreiller (il m’arrive souvent dans cette position, de rester immobile derrière elle pour l’amener à augmenter l’amplitude de ses mouvements de va et vient), je ne me prive pas de l’insulter, lui intimant de répéter qu’elle n’est qu’une chienne en chaleur, une pompe à foutre. Ce qu’elle apprécie tout comme mes claques sonores sur les fesses et mes encouragements de cavalier lançant sa jument transpirante au galop.

J’ignorais tout cela lors de cette première rencontre. Semaine après semaine, nous nous sommes dévoilés, échangeant nos fantasmes lors de nos ébats avec les scenarii les plus lubriques, impliquant pour les derniers d’autres participants hommes et femmes. La tentation de réaliser nos rêves charnels s’est faite de plus en plus pressante.

LA SOIREE

Début de soirée et premiers débordements

Mais venons-en aux faits.

Nous avons finalement entrepris de chercher un couple bisexuel pour partager nos fantasmes. Une quête laborieuse car il fallait trouver un couple qui nous plaise à tous deux et porté vers les mêmes jeux BDSM.

Domi et Harold répondaient à nos critères. Le couple nous plaisait. Les rôles étaient clairement définis, les femmes dominatrices et les hommes soumis. Après plusieurs semaines, une amitié a commencé à germer. Nous conversions tous ensemble ou séparément. Domi et Anapi ont même fini par se rencontrer à plusieurs reprises et fait connaissance de façon très intime. Sur quelques photos prises par Harold que ma Maîtresse m’avait montré non sans hésitation, les deux femmes étaient enlacées, s’adonnant à tous les plaisirs saphiques.

“Harold n’a fait que vous observer?”

“il n’avait pas le droit de participer.”

“il était habillé?”

“Non. Il était nu. Il assurait le service.”

“Que veux-tu dire?”

“Il nous apportait à boire…..”

“Anapi mon amour, tu sais que je ne t’en voudrais d’avoir eu un rapport avec lui que si tu ne m’en parles pas.”

“Je n’ai pas fait l’amour avec lui. Il regardait la plupart du temps.”

“La plupart du temps ?”

“....Il faisait chaud, je transpirais, et Domi lui a demandé d’aller chercher une serviette pour m'essuyer. Elle avait peur que je prenne froid”.

“Et…”

“je me suis couché sur le ventre. Il l’a fait avec beaucoup de douceur puis il m’a caressé tout le corps. Il semblait beaucoup aimé. Il bandait très fort.”

“Comment le sais-tu?”

“Après il s’est mis devant moi et il m’a caressé le visage avec sa queue. Je sentais bien qu’il était dur. Son gland était mouillé. Domi m’a proposé de passer ma langue dessus pour le goûter. Elle a dit que c’était important pour nos jeux futurs. Elle voulait savoir si j’aimerais le goût de sa queue.”

“Et donc tu l’as fait?”

“Oui.”

“Tu as aimé son jus?

“Oui il était un peu salé, c’était très doux.”

“Il n’a fait que ça….mon coeur dis-moi tout s’il te plait”.

“Non il n’a pas fait que ça. Avant de se quitter, Domi lui a demandé de se masturber avec ma culotte devant nous. Je lui avais parlé de ton fantasme de revenir à la maison avec une culotte pleine du sperme d’un autre. C’était l’occasion et il l’a fait. Je n’ai pas osé te le dire”.

“Et tu l’as remise?

“Oui...en pensant à toi. c’était très excitant.”

“Il y avait beaucoup de foutre?”

“Oui beaucoup. Il n’a pas arrêté de bander pendant que nous faisions l’amour Domi et moi. À plusieurs reprises il était sur le point de décharger mais il n’avait pas le droit. Il aurait été fouetté durement. Alors quand sa Maîtresse lui a ordonné de le faire, il ne s’est pas fait prier. Il a éjaculé en moins d’une minute. Je crois qu’il aimait bien qu’on le regarde.”

“ Je m’en doutais. Quand tu m’as mis ta culotte dans la bouche en rentrant, je n’ai pas reconnu l’odeur de ta mouille et j’ai pensé à quelque chose comme ça. Je ne t’ai pas posé la question car j’avais un peu peur de ta réponse.”

“Tu ne m’en veux pas?”

“Non au contraire. Je suis heureux que tu aies osé le faire, mais tu aurais dû m’en parler.”

“Tu as raison, pardonne-moi….Je l’ai sucé aussi avant qu’il ne débande pour le nettoyer. Domi me l’a demandé.”

“C’était bon?”

“Oui.”

“Merci mon amour pour ta franchise.”

“Domi a pris quelques clichés de cette dernière scène. Elle voulait que je t’envoie tout de suite celui de la culotte inondée de foutre avec des commentaires tels que “regarde je t’ai préparé un cadeau”, mais je n’étais pas convaincue. Je savais que tu le voulais. On en a si souvent parlé. Mais là ce n’était pas prévu et j’avais peur que tu le prennes mal, et aussi que la réalisation de ton fantasme ne le détruise”.

La vérité était que cet aveu m’avait flatté. Il témoignait de la confiance que ma Maîtresse m’accordait. Tout cela ouvrait des perspectives dont je rêvais depuis longtemps. Elle m’a montré ces dernières photos tout en me caressant. Je les ai admirées. J’avoue avoir eu un petit pincement au coeur en voyant la femme de ma vie avec ce gros membre dans la bouche, encore couvert de sperme , mais il fut rapidement balayé par l’érotisme de la situation.

Pour l’heure, j’étais donc le seul à ne pas avoir fait physiquement la connaissance du couple. Le moment approchait. Décision avait finalement été prise de nous retrouver tous les quatre chez eux.

Domi, belle femme mature, bien faite, généreuse, avait choisi une robe très courte en lycra noir, difficile à porter en d’autres circonstances. Ma Maîtresse portait une jupe plissée noire, légère, s’arrêtant au-dessus des genoux, laquelle lorsqu’elle se baissait pour ramasser quelque chose au sol découvrait candidement la partie inférieure de son magnifique fessier. ses jambes étaient gainées de bas. le dos et les épaules étaient nus. Ses beaux seins lourds n’étaient cachés que par deux bandes de tissus attachées dans le cou et autour de la taille. Elle avait finalement accepté sur mon insistance de rester le cul à l’air sous sa jupe.

Harold, fidèle aux photos était un bel homme affable. Le couple me plut tout de suite.

« Bonjour » dit Domi souriante…On se rencontre enfin avec nos soumis »

« En effet… contente également…Hupora tu ne dis pas bonjour ?»

« Bonjour madame, bonjour Monsieur »

« Tu peux l’appeler Harold…Et toi Harold tu ne dis pas bonjour? »

« Bonjour Madame, bonjour Hupora ».

« C’est bien… ils sont obéissants » constata ma Maîtresse en souriant.

Nous suivîmes nos hôtes dans le salon, vaste pièce équipée de grands canapés confortables en cuir brun et d’un très large pouf central carré, muni de tiroirs, sur lequel était posé un gros coussin conçu pour la fessée, de section triangulaire et une simple cravache, laissée là comme oubliée. Une large psyché était placée devant le pouf.

Une fois assises les Maîtresses discutèrent entre elles de leurs échanges passés. Elles semblaient heureuses de se retrouver, parlant de choses et d’autres. Puis la conversation dériva sur des sujets plus sensibles tels que les vices et les fautes de leurs soumis, parlant de nous à la troisième personne. Ma Maîtresse tout en conversant, pris la cravache et la fit claquer dans ses mains tout en me regardant. Harold et moi n’avions pas encore été autorisés à nous asseoir.

Imperceptiblement je sentis qu’elles devenaient plus proches, plus tendres. Les mains se frôlaient, se posaient distraitement là sur un genou, là sur une épaule et glissaient en caresses furtives.

A l’occasion d’un mot dont je n’ai plus le souvenir, Domi répondit à ma Maîtresse qu’elle était vraiment adorable et se tourna vers elle pour l’embrasser presque distraitement sur la bouche. Ce baiser fut plus long que nécessaire pour exprimer la reconnaissance. Pas plus d’ailleurs que les mains câlines sur les nuques. Un autre baiser suivit, plus profond. Les langues s’insinuaient. Domi posa une jambe sur celle de son amie. Ma Maîtresse acceptant l’invitation glissa une main entre les cuisses ouvertes, remontant doucement vers la fente qu’elle pénétra d’un doigt. Puis le retirant elle le mis dans sa bouche.

« Tu es trempée vilaine! Tu n’as pas mis de culotte toi non plus ».

“Non. Je ne me suis pas rasé non plus. C’est mieux pour garder les odeurs.”

Elle replongea un doigt, puis plusieurs qu’elle agita doucement. Finalement ce furent les cinqs doigts réunis en fuseau qui s’engouffrèrent dans la chatte. Les va-et-vient d’abord lents devinrent plus rapides. La main rentrait chaque fois un peu plus dans le vagin au point de disparaître jusqu’au poignet comme un énorme sexe, emportant bruyamment avec elle la sécrétion laiteuse. Manifestement, ce n’était pas la première fois qu’elle pratiquaient ce jeu. Inversaient-elles les rôles? J’imaginai un instant le vagin de ma Maîtresse rempli par la joli main de son amante. Domi fermait les yeux dans un état second, puis haletante et criant presque, elle referma ses cuisses épaisses comme un étau sur le bras de ma Maîtresse et jouit intensément. Son orgasme s’accompagna de contractions spasmodiques de tout son corps.

Après avoir retiré sa main du con baveux, je fus sommé de nettoyer chaque doigts.

« Je sais que tu aimes le jus des femmes…et aussi celui des hommes d’ailleurs……dis-le à Maîtresse Domi. »

Je baissai les yeux.

« Pourquoi faut-il toujours insister pour que tu obéisses?»

Elle me gifla avec sa main dégoulinante.

« Oui maîtresse ».

« Tu aimes autant avaler la mouille que le foutre n’est-ce-pas ? »

« Oui Maîtresse j’aime autant l’un que l’autre. »

« Nettoie maintenant. »

Elle me fourra ses doigts souillés dans la bouche.

Pendant que Domi reprenait ses esprits, je nettoyais le jus visqueux. Elle le vit et sourit.

L’adoration des mains et des pieds est le privilège des esclaves. Mais devoir nettoyer sur cette main aimée, le jus d’un autre con, représentait un pas supplémentaire vers une soumission plus aboutie. Beaucoup auraient renoncé. Je l’ai fait sans renâcler car je souhaitais que ma Maîtresse fût fière de moi. J’ai pensé en cet instant que s’il s’était agi de foutre j’aurais obéi avec le même empressement. J’eus honte de souhaiter une situation aussi humiliante. Je la craignais et la désirais.

Se ressaisissant nos dominas décidèrent qu’il était temps d’aborder la suite du programme. Celui qu’elles avaient secrètement concocté.

« Hupora ! va te changer dans l’entrée. Tu sais où sont les affaires, dans la petite valise dans un sac à part… avec un petit mot. Lis-le attentivement. Dépêche-toi.»

Le mot était clair:

Tu seras notre femelle aujourd’hui. On ne parlera de toi qu’au féminin. Domi et moi voulons te voir déguisée en putain. Les bas seront tirés suffisamment haut pour que la jupe courte que je te demande de porter les recouvre un minimum. Le T-short est un peu ajusté. Pour la culotte (*) je t’en ai trouvé une ridicule complètement ouverte sur les fesses et transparente devant (ne te trompe pas de côté).

Une chose encore, tu devras obéissance à Harold, mais il devra nous demander la permission. Il fallait établir une hiérarchie et tu es en bas de l’échelle.

A tout de suite ma lopette.

L’annonce était claire. Je serai soumis à deux femmes et un homme lui-même soumis. Je devrai leur obéir quoiqu’ils me demandent. Je sentais les contractions habituelles, préludant mon érection.

De retour au salon la situation avait évolué. Harold était complètement nu, à quatre pattes, jambes écartées, tournant le dos aux maîtresses toujours assises côte à côte. Un collier muni d’un anneau et d’une laisse lui enserrait la base du sexe. Domi de son pied tapotait les testicules de son soumis tout en tirant par saccades sur la laisse, tandis que ma Maîtresse glissait le bout de sa cravache le long de la raie culière. Elles riaient ensemble.

Domi s’exclama en me voyant arriver.

« Mais c’est qu’elle est mignonne comme ça avec ses bas et sa jupette !».

Puis s’adressant à ma Maîtresse : « je peux vérifier quelque chose ?».

« Bien sûr …approche-toi de Domi »

Autoritaire, elle lui donna la laisse et glissa ses mains sur l’intérieur mes cuisses sous ma jupe et remonta jusqu’à mon entrejambe.

« C’est quoi cette culotte ? »

« Regarde . Tu verras c’est un voile transparent devant. »

Domi releva le bas de la jupe.

« C’est adorable…une vraie culotte de sissy »

« Et comme ça je sais si elle bande».

« C’est pour bientôt il me semble »

« Le voile est élastique et assez lâche…comme ça je vois tout de suite l’état de son clito »

«Tu l’as complètement rasée ? »

« Complètement épilée à la cire pour notre rendez-vous… ».

« Harold se fait épiler dans un institut de beauté…La culotte est ouverte derrière ? »

« Totalement ouverte, on ne voit que les liens étroits en dentelle au niveau des cuisses et de la taille. C’est ce qui m’a plu. Je l’ai trouvée sur un site. Elle est vendue sous le nom de Burlesque. Elle aurait pu s’appeler Grotesque ou Ridicule ».

« C’est bien… le vagin des putes doit toujours être accessible…à ce sujet, elle a bien suivi le programme de dilatation. »

« Elle est prête je t’assure. Les gods de 5 cm de diamètre rentrent tout seul. D’ailleurs maintenant ça la fait bander. ».

« Harold est bien membré et il a m’a confié avoir très envie de la sodomiser, il adore enculer ….enfin nous verrons. »

Cette conversation insultante m’excitait et je sentais mon sexe grandir. Les caresses sournoises de ces mains étrangères me rabaissaient délicieusement.

Glissant une main sous la culotte, elle attrapa mes parties génitales et les manipula fermement quelques secondes.

« Elle a une belle queue. »

« Elle a un gros clito tu veux dire… retourne-toi maintenant que Domi puisse voir mon travail de dressage….trousse-toi et montre-nous ton gros cul mou de femelle ! »

« Oooh ! Comme tu lui parles ! »

« Elle aime ça cette pute à foutre…dis-nous que tu es une salope ? »

« Oui Maîtresse je suis une salope »

« Articule mieux que ça et parle plus fort ! » Elle se leva à moitié pour me gifler.

« Je suis une grosse pute à foutre »

« Voilà c’est mieux… retourne toi, soulève ta jupe. Tu sais que je n’aime pas me répéter ! »

« Mmmmm !... Elle est obéissante. »

« Obéissante si on veut. Je dois toujours la gifler ou la fouetter pour me faire obéir. Le dressage est difficile et n’est malheureusement pas terminé mais elle progresse, indéniablement.»

« J’ai aussi beaucoup de mal avec Harold….Tu me permets de donner des ordres à Hupora? »

« Je t’en prie. Je te la prête».

« Obéis à ta Maîtresse, retourne-toi et lève ta jupe bien haut…..Ah oui les fesses sont complètement dégagées. Ca les met bien en valeur. On dirait un cul de femme. On n’a même pas besoin de baisser sa culotte pour la fouetter. Elles sont bien zébrées. Tu as utilisé la cravache »

« Pas seulement, le fouet aussi et une baguette assez lourde, c’est elle qui laisse les marques bleues.»

« Elles se sont estompées il faudra raviver tout ça».

Ma Maîtresse employait de plus en plus de mots obscènes, ce qui était chez elle le signe qu’elle avait dépassé ce que j’appelais son point de non-retour. La porte fermée par sa pudeur à des allusions sexuelles trop crues, une fois ouverte révélait une veritable cochonne. Son imagination se débridait. J’ai compris par la suite que cette réserve était liée à sa peur de perdre le contrôle.

Domi se leva et vint derrière moi. Elle me mit la main aux fesses et les palpa comme on fait au putains.

« Penche-toi en avant. Écarte les jambes.»

Après avoir lubrifier ses doigts dans son con, elle enfonça sans difficulté l’index puis le majeur dans mon anus. Les repliant en moi en manière de crochet, elle tira vers l’arrière pour me forcer à me cambrer.

« En effet Harold n’aura aucun problème à le foutre. J’ai hâte de voir ça. »

J’étais certes humilié sous les regards de tous, mais surtout par mon érection. Elle attestait clairement que le plaisir d’être explorer et la perspective d’être sodomisé, l’emportait sur mon statut dégradant d’objet. Elle retira ses doigts après m’avoir pistonné pendant quelques secondes et me demanda de les lécher. Suivirent deux claques violentes et sonores, une sur chaque fesse, qui achevèrent de me faire bander malgré moi.

« Une vraie putain !…Harold ? Hupora te plaît ? Tu auras envie de la pénétrer ? Je la trouve tout à fait baisable non? »

Baissant les yeux il acquiesça d’un mouvement de tête.

« Mets-toi à genoux devant lui et toi Hupora fait-lui face »

« Regarde Harold comme elle bande notre sissy. Sa petite culotte est tellement tendue qu’elle ne peut plus se cacher sous sa jupette. Je suis certaine que tu as envie d’embrasser son gland ».

« Oui Maîtresse ».

« Alors baisse sa culotte sur les genoux et montre-nous tes talents. Je t’y autorise ».

Un baissé de culotte un peu vif est très érotique. On est soudainement exhibé, cul nu. Les fesses tremblent un court instant. La queue se détend comme un ressort. Lors d’une soirée BDSM, durant une séance de punition au fouet, j’ai le souvenir précis de ma maîtresse me déculottant sèchement devant plusieurs participants. Jamais de ma vie je ne m’étais senti aussi exposé, avili et paradoxalement fier d’attiser la convoitise de certains. Un couple en particulier s’était levé pour contempler ma croupe écarlate de plus près et avait demandé la permission de la toucher. J’étais l'esclave que l’on palpe pour s’assurer qu’il serait bien à la hauteur des services attendus.

Harold tira donc d’un coup sec ma culotte vers le bas. Mon sexe une fois libéré, le gland humide se retrouva presque brutalement à hauteur de sa bouche. Il l’enfourna immédiatement. Je sentis sa langue s’enrouler sur le nœud. L’indignation aurait dû me faire reculer mais là encore ma nature lubrique m’anéantit et c’est l’inverse qui se passa. Je poussai malgré moi, mon engin dans sa bouche.

Domi alla chercher un appareil photos et se rassit à côté d’Anapi. Elle posa sa main sur la cuisse de ma Maîtresse au-dessus des bas et caressait doucement la peau tendre, couleur d’albâtre par contraste avec ses vêtements sombres. Les deux femmes regardaient amusées la scène. Leurs yeux brillaient de cet éclat propre à la gourmandise

Harold me caressait maintenant les testicules tout en aspirant mon préfoutre. Il aventura ses doigts jusqu’à mon petit trou qu’il titilla. Je bandais à en avoir mal et gémissait sans pouvoir me contrôler. Une véritable honte. Un tel abandon, je le savais ne manquerait pas d’être un motif de punition sévère..

« Soulève ton T-short et pince-toi les tétons...Domi va vous prendre en photo…bien, pince plus fort comme si c’était moi, regarde-nous maintenant ».

La photo fût prise alors que j’avais la bouche ouverte et les yeux mi-clos, l’air hagard, incapable de reprendre le contrôle de mes sens.

La punition des soumis :

« Tu ne trouves pas que ce que font ces deux fiottes est intolérable. Qui punit-on en premier ?», demanda Domi.

« Je ne sais pas mais Hupora mérite une punition sévère »

« Des raisons à cela ? »

Perdant son sourire : « Parce ce qu’elle ne peut plus baisser sa jupe tellement elle bande cette chienne et que c’est interdit. Elle le sait pourtant. Mais il n’y a pas que ça. J’ai regardé son historique sur internet que j’ai trouvé le moyen de sauvegardé à son insu….une catastrophe. Sites pornographiques et récits dégoûtants »

« Ouuuh ça coûte cher ça et quels genre de sites. »

« Il va te le dire lui-même. »

« Maîtresse c’est extrêmement gênant.»

Pour toute réponse elle empoigna mes testicules et commença à les comprimer, jusqu’à m’arracher un cri de douleur.

« Je dois la rabaisser en permanence, c’est éreintant…Nous t’écoutons. Articule bien ».

« Des sites pornographiques »

« Ca on le sait….tu te fiches de moi ! ». Elle me gifla.

« La vérité Hupora, je veux la vérité !…tu sais que je la connais »

« J’aime les sites avec …beaucoup de sperme ».

« Ca tombe très bien, Harold est un gros producteur de foutre » interrompit Domi.

« Les sites gay aussi, mais j’ai du mal à me concentrer pendant qu’Harold me suce…je suis désolé. »

« Justement ça t’empêche de réfléchir, continue salope ! »

« Des sites…de….candaulisme. J’imagine ma Maîtresse faire la chienne devant moi, prises par plusieurs hommes….haaa, je vais jouir comme ça ! »

« Je ne te le conseille pas…et ensuite »

« Ensuite c’est moi qui doit la nettoyer de tout le foutre qui sort de tous ses trous….je vous en supplie demander à Harold d’arrêter »

« Il est trop tôt pour lui vider les couilles » décida Domi.

Elle retira ma queue de la bouche d’Harold qui grogna.

« Eh ben !...Harold apprécie de sucer ma sissy, regarde dans quel état ça le met. »

Ma Maîtresse regardait avec gourmandise la grosse bite tendue. Elle la soupesait du bout de sa cravache tout en tirant sur la laisse pour mieux l’exposer et suggéra qu’il fût puni le premier. La décision fût prise en ce sens.

Les deux femmes étaient clairement excitées.

Domi lui ordonna de se mettre en position sur le pouf central, le coussin triangulaire calé sous ses hanches. Elle attacha avec des liens, poignées et chevilles à des anneaux dissimulés dans le socle du meuble, lequel décidément était plein de ressources.

« L’ensemble pouf et coussin fait un banc de punition astucieux….et discret ! »

« Et qui peut servir à de nombreuses activités, tu verras » compléta Domi avec un sourire malicieux.

Le résultat était particulièrement troublant. Harold cambré, fesses en l’air et ouvertes, l’orifice bien visible, ses couilles pleines et sa belle queue totalement offertes. Je n’osai pas demander la permission de lui rendre le plaisir qu’il m’avait procuré, mais il y a un Dieu pour les lopettes vicieuses.

« Anapi je peux demander à ta femelle de lui embrasser le cul ? »

La réponse fusa.

« J’allais te le proposer, mais d’abord je dois lui mettre son rouge à lèvres. On verra comme ça si elle a bien posé ses lèvres partout!»

« Génial. J’adore l’idée? ».

Ma Maîtresse me maquilla les lèvres outrageusement de rouge carmin et m’ordonna de m’agenouiller derrière Harold.

« Ne remonte pas ta culotte, tu es jolie comme ça...cambre-toi bien. Fais ta putain. Montre-nous comment tu sais bouger ton gros cul ».

Elle riaient de concert. Domi confirma qu’en me trémoussant ainsi, elle connaissait beaucoup d’hommes qui adoreraient m’enfiler et qu’il faudrait organiser une soirée spéciale. Je préférai ne pas entendre. Elle enchaîna:

“Vas-y salope, nous savons que tu en meure d’envie et je crois qu’Harold est aussi impatient de se faire bouffer.”

J’obéis immédiatement, pris le gros bracquemard presque religieusement dans ma main pour le porter à mes lèvres. Je baisai le gland d’où perlait du jus un peu salé, l’entourant de ma langue comme ma Maîtresse me l’avait appris durant les séances de dressage avec le gros god noir utilisé pour ma préparation anale, puis la hampe que j’embrassai, remontant vers les couilles que je léchai soigneusement.

Ma Maîtresse approcha son visage du mien.

« Tu n’oublies pas quelque chose ? »

« Si Maîtresse son anus »

« Oui son trou du cul. Tu vas lui embrasser le fion et laisser des jolies marques de rouge à lèvres tout autour. »

J’ai eu le tort de marquer un temps. Elle me troussa jusqu’à la taille et me cingla les fesses d’une dizaine de coup de cravache cinglants qui me firent crier et me tirèrent les larmes des yeux.

Je dû continuer sous la menace, ma progression vers l’orifice sensible sur lequel je déposai un baiser profond avec la langue. Harold gémit bruyamment apportant la preuve d’un travail correctement exécuté. Ma Maîtresse, me tirant les cheveux en arrière, voulut tout de même vérifier que le rouge à lèvres avait bien été déposé autour du point sensible. Les nombreuses traces laissées par mes lèvres semblèrent la satisfaire. Je vis dans la glace que ma bouche était barbouillée de rouge. Elle me replongea le visage dans le cul d’Harold, elle m’ordonna de continuer en prenant soin de rentrer ma langue et de le traire en même temps.

« Je crois que nous avons des nouvelles photos à prendre » ajouta-t-elle.

A genoux, troussé jusqu’à la taille, culotte baissée, les fesses marquées par la cravache, entrain de lécher le cul d’un homme, de le branler et enfin sur le point d’être pris en photo, je crois pouvoir dire

que de toutes les situations humiliantes que ma Maîtresse m’avait déjà infligées, celle-ci était la plus intense. Etrange humiliation totalement débordée par le désir.

“Ca suffit maintenant tu vas le faire jute. On passe à la punition.”

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